Le 16 novembre 2017, le Premier ministre cambodgien Hun Sen a fait interdire le principal parti d’opposition avant les élections législatives prévues en juillet 2018. Face à ce coup d’arrêt porté au processus démocratique dans le pays, les chancelleries occidentales ont menacé de prendre des sanctions, tandis que le gouvernement cambodgien s’efforce de renforcer son partenariat stratégique avec la Chine
- Menace de sanctions occidentales
- La Chine, partenaire stratégique du gouvernement de Hun Sen