Responsive Menu
Add more content here...
Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Auteur de la note

Pierre Andrieu

Pierre Andrieu, entré au Quai d’Orsay en 1980, a eu une carrière diplomatique centrée sur l’Europe de l’Est, les pays nordiques, la Russie, et la CEI. Il a été Ambassadeur au Tadjikistan et en Moldavie, ainsi qu’Ambassadeur pour le Partenariat oriental et la Mer Noire. À l’administration centrale, il a traité des dossiers asiatiques et européens, et a travaillé en diplomatie économique. Auditeur de l’IHEDN, il enseigne à Sciences Po Paris et a donné des cours au MGIMO. Actuellement, il est Senior Adviser chez Schneider Group après une expérience dans
l’intelligence économique.

Jean-François Di Meglio

Ancien élève de l’École normale supérieure et de l’Université de Pékin, Jean-François Di Meglio a passé plus de vingt ans dans un grand établissement financier français, en poste à l’international et en particulier en Asie. De 2005 à 2008 il a été responsable du secteur énergie et matières premières en Chine pour BNP Paribas. Il a rejoint Asia Centre en mai 2008 pour y mettre à profit sa connaissance du monde de l’entreprise et de l’Asie avant d’en être président en 2009.

Autres analyses

Chine / Russie : un état des lieux des relations • entretien avec Pierre Andrieu

IMG_3920
Dans cet entretien mené par le président d’Asia Centre, Jean-François Di Meglio, Pierre Andrieu nous offre des clefs de lecture quant à la relation entre la Russie et la République Populaire de Chine. Un entretien à retrouver via le lien “PDF” et ultérieurement, au sein de la prochaine édition d’Asia Trends ! Incessamment sous peu… bonne lecture. Pierre Andrieu répond aux questions suivantes : – Peut-il y avoir des restes ou un ancrage d’un “parti de la Russie” au sein du PCC ? – Quelles sont les principaux jalons/inflexions de la relation Chine-Russie qui, du côté de Moscou et de Pékin respectivement, influent à l’heure actuelle sur l’état des relations ? – Quelle est la conception respective des “alliances” ou des convergences d’intérêts (opportunistes ou à plus long terme) des deux parties concernées ? – Le SCO et/ou les BRICS + sont ils en train de devenir des institutions entre les mains de Pékin qui “accessoirise” Moscou ? – Y a-t-il, à la lumière du très récent alignement des vetos au Conseil de sécurité, un réel rapprochement progressif ? – Qui dépend le plus de l’autre dans la relation ? – La théorie des relations internationales et l’expérience de chacune des deux nations ne révèlent-elles pas une relative “juniorité” de la RPC (malgré l’histoire longue de la Chine, qui n’a jamais été une nation “diplomatique” mais plutôt bénéficiaire de tributs) ?
asiacentre.eu