Jean-Yves Colin, chercheur à Asia Centre, publie une nouvelle brève sur le début chaotique de la campagne présidentielle sud-coréenne.
Le 4 avril, la Cour Suprême sud-coréenne a destitué le président Yoon Suk-yeol après son recours contesté à des mesures d’urgence, ouvrant la voie à une présidentielle anticipée le 3 juin. Cette décision, perçue par certains comme une victoire institutionnelle, révèle en réalité une crise profonde : affrontements politiques, justice hyperactive, divisions internes au sein du camp conservateur, et candidats fragilisés par des affaires judiciaires. Dans ce chaos, Lee Jae-myung, chef du Parti Démocratique, s’impose en favori d’une élection cruciale pour l’avenir politique du pays.
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